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Voyage Solidaire en Macédoine - Départ le 25 Juillet 2015 - retour le 11 Aout

vendredi 2 septembre 2011

*** La vallée de Ihlara



23-08 : *** La vallée de Ihlara
Pour aujourd’hui l’objectif de la journée : retour sur Istanbul, nous partons très tôt.
Cependant avant de repartir nous tentons de prendre le circuit de la vallée de Ihlara. Un peu déçu à l’arrivée : Nous devons quitter le land payer une entrée plus le parking, le truc très touristique, quoi, malgré nos nombreuses visites, nous manquons d’habitude, mais c’est une de nos dernière visite donc on se laisse faire.
Après une descente vertigineuse dans le fond d’une faille assez profonde on découvre un petit paradis de verdure magnifique alors que tout alentour est plutôt sec et que rien ne laisse entrevoir ou même prévoir ce petit paradis.
En fait la faille fait plus de 7 km, au fond une petite rivière enchanteuse, de chaque coté la roche tombe à pic.










Des églises voir des monastères partout creusés dans la roche. Il est tôt et nous sommes seuls ou presque nous y passons deux heures nous avions prévu ½ heure, il faudrait y passer la journée.
 


On peut voir de belles peintures dans les églises sur les paroies des cavernes !!!



Mais la route nous appelle, dommage, cela vaut vraiment le détour.

Nous longeons ensuite un lac, le lac de xxx, mais il nous semble bizarre. Tout d’abord sur la carte on a l’impression qu’une des routes qui est  parallèle est complètement entourée d’eau sur 40 km. Ensuite de loin on voit sur l’eau une lueur vive très blanche.


Un peu plus loin nous avons l’explication : Du Sel !
En fait nous nous trouvons sur un lac salé. Avec du sel à perte de vues et loin enfin de l’eau qui parait pourpre. Superbe !

Nous mangeons avant de reprendre la route qui fut longue car nous avions à rattraper les heures passée dans la vallée de Ihlara !

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*** Gorème, vraiment féerique !

22_08 : *** Gorème, vraiment féerique !
Nous attaquons la visite de la Cappadoce par des ruines assyriennes du royaume de Kadesh à Kani / Kültepe 1920 avant JC. Seules les fondations étaient en pierre. Les piliers étaient en bois le reste en torchis. Il ne reste donc  que les fondations mais l’ensemble est assez étendu. Et le tout entouré d’un mur d’enceinte.
En suite Avanos ! pour Jean-Yves, qui y avait passés 10 jours il y a 30 ans pour y faire de l'artisanat! C’était un peu souvenir souvenir... !  C'était chez Galippe ci dessous où il avait passé une dizaine de jours il y a 30 ans ...


Avanos est une sympathique petite ville de potiers
 

          et de fabricants de tapis.

Il y a des marchants de tapis, de kilims et de poteries partout. C’est aussi l’occasion de s’offrir un bon petit resto.



Ensuite place à Gorème et Zelve, centre du lieu culte des cheminées de fée, et c’est vraiment féerique sans faire de jeu de mot, le terme est vraiment bien choisi.
Les cheminées de fées s’étalent sur des km². Il y en a de toutes les tailles, toutes les formes. Beaucoup sont creusées et ont servi soit d’habitation soit de lieu de culte.









 Lors de l’occupation ottomane quand les chrétiens était pourchassés les églises et les monastère souvent dissimulées servaient de refuge.





Un peu déçu par la ville souterraine de Kaimakli, dommage nous n’avons pas de guide sur la région et l’on y va un peu au hasard. Il doit y en avoir de plus intéressantes.
Mais globalement la journée valait vraiment le déplacement (en 4x4 ou non)!



*** Toujours tout schuss vers la Cappadoce



21-08: *** Toujours tout schuss vers la Cappadoce
Beaucoup de route.

A noter une petite ville spécialiste de la vente de tracteurs au moins 4 marques dans 4 magasins avec entre 5 et 8 exemplaires par magasin. Zéro délai à la livraison



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Ensuite un beau campement sur les hauteurs : superbe vue mais très venté et un peu froid.
(en fait, certain on trouvé que cela "caillait" vraiment !)

*** Tout schuss vers la Cappadoce

20-08: *** Tout schuss vers la Cappadoce
Nous partons sur Batoumi.



Nous sommes très surpris par le design futuriste de la ville (photo), immeuble, hôtel, aéroport, mais nous ne nous attardons pas, nous passons la douane, Alain fait le plein de pastis ou plutôt de raki&nbs et tout schuss vers la Cappadoce en longeant la mer noire.















Mauvaise surprise en quittant Giresun et en s’enfonçant dans la montagne. Tout est boisé et escarpé, le moindre cm² de plat est construit. Pas un campement. Alain nous emmène dans « mi chemin mi dépôt de goudron » à côté d’une petit torrent, mais personne n’est convaincu sauf les chaussures de Charles qui crie au secours. Finalement on trouve un peu plus loi, malheureusement, sous la pluie.
Merci pour celui qui avait amené la bâche !